Les scooters italiens, ça évoque tout de suite les ruelles sinueuses de Rome, les terrasses ensoleillées et surtout… le plaisir de rouler l’esprit léger. Mais en 2025, ce n’est pas qu’une histoire de style : c’est aussi la technologie embarquée, la fiabilité et, osons le mot, le vrai fun au guidon ! Vous cherchez le modèle qui vous accompagnera au quotidien, qui ne vous lâchera pas au premier dos-d’âne, tout en offrant ce petit supplément d’âme à l’italienne ? Allez, on passe en revue les modèles qui font vraiment la différence cette année. Soit dit en passant, même si vous n’avez jamais posé les fesses sur un deux-roues, tout s’apprend… et je parie qu’à la fin de cet article, l’un d’eux vous fera franchement envie.
Pourquoi les scooters italiens cartonnent encore en 2025 ? Tradition, innovation et cette fameuse dolce vita…
Quand on parle d’un scooter italien, on ne pense pas seulement à un moyen de transport. Il y a tout un art de vivre derrière : que ce soit la ligne racée d’une Vespa ou la robustesse d’un Piaggio, l’idée, c’est d’allier efficacité et plaisir. Les constructeurs transalpins ont su se réinventer, en proposant désormais des modèles qui plaisent aux urbains pressés comme aux nostalgiques des balades du dimanche. Et entre nous, si les grandes marques françaises s’en inspirent autant, ce n’est pas un hasard.
Certains diront que ce n’est qu’une histoire de design… Mais il suffit de grimper sur un Beverly ou d’écouter ronronner une GTS pour comprendre que c’est aussi (et surtout) une affaire de mécanique bien ficelée. Ajoutez à ça l’essor des scooters électriques, et on a un marché plus vivant que jamais !
Les grandes familles : de la mobilité urbaine à la machine de caractère
Tous les scooters italiens ne se valent pas, loin de là. Certains sont faits pour se faufiler tous les matins dans les bouchons, d’autres pour avaler les kilomètres sur la route des vacances. Voici les types de modèles qui dominent en 2025 :
- Scooters urbains (idéal pour la ville, compacts et maniables)
- Scooters GT ou « maxiscooters » (plus puissants, plus confortables, adaptés aux trajets interurbains)
- Scooters électriques (parfait pour ceux qui veulent rouler propre sans sacrifier le style)
- Modèles vintage ou néo-rétro (le charme des années 60/80 avec la technologie d’aujourd’hui)
Un conseil : cernez bien votre besoin avant de vous emballer sur une couleur ou un modèle mythique. La sagesse, c’est de trouver chaussure à votre pied… ou plutôt, scooter à vos envies.
Zoom sur les meilleurs scooters italiens de 2025 : le top 5 qui fait envie
Voilà une sélection basée sur l’essai, les retours de vrais utilisateurs (j’en fais partie !) et les dernières nouveautés que j’ai repérées sur les salons. Que vous soyez branché(e) essence ou électrique, il y a quoi vibrer… et je développe pour chaque modèle les points qui comptent vraiment au quotidien.
1. Piaggio Liberty 2025 : l’agilité d’un vélo, la classe en plus
- Design totalement repensé : lignes plus modernes mais sans tomber dans l’extravagant. Il s’intègre partout, du centre-ville embouteillé aux parkings serrés.
- Large choix de motorisations : du 50 au 150 cm³, question budget et permis, c’est tout vu.
- Sécurité & confort : grandes roues (16’’ à l’avant) – franchement, sur nos pavés lillois, c’est le top, et ABS sur les versions 125 et 150 pour conduire serein.
- Technologie embarquée : LED partout et écran numérique 5 pouces – finie l’époque où on devinait sa vitesse à l’oreille…
Anecdote : J’ai pu l’essayer sous la pluie (évidemment, à Lille !), et malgré les chaussées glissantes, il ne m’a pas pris en défaut une seule fois. Franchement, il pardonne beaucoup, même aux distraits.
2. Piaggio Beverly 310 : le grand tourisme version accessible
- Nouveau moteur revisité à 70 % (c’est pas du marketing, c’est vérifié !) : un vrai plaisir à l’accélération, sans bruit parasite.
- Puissance juste ce qu’il faut : 310 cm³, 27,7 ch… vous dépassez les 120 km/h sans « taper » dans la mécanique.
- Châssis haut de gamme : suspension Showa, contrôle de traction, ABS… sécurité et stabilité nickel, même chargé à bloc.
- Compartiment à casque XXL : parce que tourner 10 minutes pour cacher son casque, on l’a tous vécu…
- Deux versions : Beverly « S » au look plus sportif, ou sobre/classique.
Petit détail : le port USB de série, c’est la vraie vie pour brancher le téléphone ou le GPS. Sur la route des vacances ou juste pour trouver la boulangerie la plus proche, ça fait plaisir.
3. Piaggio Medley 200 : le scooter malin pour la ville (et un peu plus)
- Moteur « sweet spot » : 200 cm³, c’est la parfaite alliance entre performances et consommation (comptez dans les 3L/100 en usage mixte, d’après mes tests).
- Équipements très modernes : transmission CVT douce, système Start-Stop RISS silencieux (on se croirait presque sur un modèle électrique… presque).
- Capacité de rangement : coffre sous selle permettant de loger deux casques jet… test fait, promesse tenue (bon, pas des intégraux non plus !).
- Connectivité Piaggio MIA sur la « version S » : liaison smartphone pratique pour les alertes maintenance, la navigation, musique…
- Design sportif : les finitions noires, ça donne tout de suite un air plus racé.
Perso, le Medley, je l’ai recommandé à un jeune collègue qui débutait : zéro stress, prise en main rapide, et pas besoin de sortir la caisse à outils tous les quatre matins.
4. Vespa GTS 310 : l’icône qui muscle son jeu
- Moteur 310 cm³ : 25 ch, bien plus nerveux qu’on ne l’imagine en voyant ce look délicieusement rétro.
- Hommages aux modèles d’anthologie : la GTS Super, inspirée par la GS 150 et la fameuse T5. On adore les détails, même si c’est juste pour frimer devant le café du coin.
- Finitions « SuperSport » : jantes graphite, inserts carbone, guidon typé sportif… c’est plus qu’un scooter, c’est presque un bijou sur roues.
- Customisation à la carte : poignées chauffantes, plusieurs selles, rangements à la pelle (pratique pour partir en week-end sur la Côte d’Opale… encore faut-il la météo).
- Permis requis A- (18 ans, max 35 kW) : gardez ça en tête si vous débutez…
Honnêtement : chaque fois que je croise une GTS 310 bien entretenue, je me retourne. C’est comme voir passer une R5 turbo restaurée, le plaisir des yeux opère toujours.
5. Lambretta Elettra : le pari du tout-électrique… sans sacrifier la gueule !
- Design inimitable : phare hexagonal cerclé chromé, silhouette iconique… la Lambretta, on la reconnaît de loin, même sous une bâche.
- Motorisation 4 kW (5,5 ch), boost à 11 kW (15 ch) : ça décoiffe au départ, sans bruit ni vibration… sensations différentes, surtout au tout début.
- Vitesse max 110 km/h : pour un modèle électrique, c’est largement dans la norme urbaine et périurbaine.
- Autonomie officielle : 127 km, recharge rapide à 80 % en 36 minutes… gros point positif ! Mais notez que ce chiffre dépend de votre poignée droite (et des arrêts pour un café).
J’ai essayé l’Elettra lors d’un salon à Paris : étrange au départ, mais question relances aux feux rouges, elle dame le pion à nombre de thermiques. Bon, pour l’ambiance « berceuse du moteur », il faudra repasser !
Comparatif express : Les stars italiennes à la loupe (prix, puissance, points forts)
| Modèle | Type / Motorisation | Puissance | Autonomie / Vitesse | Prix indicatif (€) | Points forts |
|---|---|---|---|---|---|
| Piaggio Liberty 2025 | Essence : 50-150 cm³ | 3,2 – 12 ch | Jusqu’à 95 km/h (150) — 270 km | Env. 2 299–3 699 € | Maniabilité, coût, praticité |
| Piaggio Beverly 310 | Essence : 310 cm³ | 27,7 ch | 129 km/h — ~320 km | Env. 5 999–6 499 € | Confort, stabilité, techno |
| Piaggio Medley 200 | Essence : 200 cm³ | 18 ch | 110 km/h — ~220 km | 3 999 – 4 399 € | Économique, accessible, rangement |
| Vespa GTS 310 | Essence : 310 cm³ | 25 ch | 120 km/h — ~250 km | Env. 6 800–7 200 € | Style, finition, prestige |
| Lambretta Elettra | Électrique : 4–11 kW | 15 ch en boost | 110 km/h — 127 km | Env. 5 700–6 000 €* | Écoresponsable, originalité, recharge rapide |
Scooters italiens : lequel choisir selon son usage ? (Conseils d’un passionné… et testeur du dimanche !)
C’est LE moment de trancher. Pièce essentielle du choix : l’usage que vous en ferez. Alors, pour éviter les regrets et les discussions de comptoir, voici quelques profils types glanés au fil des ans :
Pour le quotidien en ville : maniabilité, économie et sécurité
- Piaggio Liberty : le meilleur allier des citadins. Léger, très peu gourmand, facile à garer, très sympa pour apprendre. On trouve les pièces faciles (c’est un point à ne jamais négliger… parole d’ancien chef d’atelier !).
- Medley 200 S : un cran au-dessus ? Plus de patate, meilleure connectivité, mais ça reste gérable même pour un débutant.
Privilégiez un modèle avec ABS : je reviens là-dessus, mais dans une rue mouillée et une voiture qui pile devant vous… c’est plus qu’utile, c’est vital.
Pour la route & les grands axes : confort et puissance
- Beverly 310 : le choix sérieux. Sa stabilité et sa capacité à avaler les kilomètres sans crampe font la différence. Certains l’utilisent même pour aller bosser à plus de 50 km… Respect.
- Vespa GTS 310 : on roule chic ET efficace. Idéale pour les virées du week-end ou ceux qui veulent conjuguer plaisir de conduire et image premium.
Attention, ces modèles exigent le permis adapté, donc vérifiez bien votre situation (un point récurrent dans vos questions…).
Pour une mobilité propre, tendance et économique : l’option électrique qui a du cachet !
- Lambretta Elettra : pour un usage urbain ou quotidien, elle coche (presque) toutes les cases. Moteur sans entretien, recharges rapides à la maison, et possibilité de rouler dans toutes les métropoles, même en cas de pic de pollution.
- La discrétion du moteur perturbant au début ? On s’y fait étonnamment vite !
Petit conseil : calculez le coût réel (assurance, électricité ou essence, entretien) sur 3 ans. Parfois, un modèle un peu plus cher à l’achat est bien plus rentable au final.
Points de vigilance en 2025 : il y a du changement…
Entre l’évolution des normes (zones à faible émission, ZFE…), la disponibilité réelle en magasin, la gestion des subventions, et le prix des assureurs, il vaut mieux se renseigner avant de se lancer. Méfiez-vous aussi des délais de livraison… Certains modèles affichent plusieurs mois d’attente.
Et pour tous ceux qui pensent à la revente : les scooters italiens, surtout Vespa et Piaggio, tiennent très bien la cote. N’hésitez pas à jeter un œil aux annonces pour vous en convaincre.
Enfin, côté accessoires : investissez dans un bon antivol (oui, les modèles italiens ont la cote… aussi chez les voleurs) et pensez à la sécurité, surtout le casque : le style, c’est bien, la vie, c’est mieux.
En résumé : choisir un scooter italien, c’est choisir le plaisir… et la raison !
Au final, du Liberty pratique au Beverly costaud, en passant par la Vespa mythique ou la surprenante Elettra électrique, il y en a pour tous les goûts et (presque) toutes les bourses ! Se lancer dans l’aventure scooter italien, c’est opter pour un mode de déplacement aussi efficace qu’attirant. Croyez-moi, le simple fait de démarrer sur le pavé avec le soleil (ou la pluie, c’est du vécu…), ça donne une autre saveur à la journée.
Un dernier conseil : testez, comparez, regardez bien les promotions du moment, et surtout… faites-vous plaisir. Et si jamais vous sautez le pas, je suis curieux de vos retours ou anecdotes – la rubrique commentaires vous attend (et je les lis toutes, foi de Roger !).
Questions fréquentes – tout savoir avant de choisir son scooter italien en 2025
Quels sont les avantages d’un scooter italien par rapport à un modèle asiatique ou allemand ?
Design intemporel, innovation continue, tenue de route rassurante, fiabilité reconnue (surtout chez Piaggio/Vespa) et une vraie identité. Et côté revente, ils gardent la cote même après plusieurs années – ce qui est rarement le cas de certains concurrents.
Un scooter italien est-il adapté aux débutants ?
Oui, surtout pour les modèles comme le Liberty ou le Medley. Prise en main facile, centre de gravité bas, freinage sécurisant. Pour les plus puissants, il vaut mieux un peu d’expérience, mais l’ergonomie reste un point fort du made in Italy.
Quelle est la durée de vie moyenne d’un scooter italien ?
Avec un entretien régulier (vidange, filtre à air/huile, pneus…), on dépasse facilement les 40 000 km sans gros souci. J’ai même vu une Vespa dépasser les 80 000 km… uniquement à force d’amour et de bonne graisse !
La connectivité et les équipements modernes sont-ils vraiment utiles au quotidien ?
Je pensais que c’était gadget au début, mais l’affichage numérique, la connectivité smartphone ou la prise USB rendent de fiers services chaque semaine – surtout pour la navigation, les alertes maintenance, ou juste pour recharger le téléphone entre deux rendez-vous.
Quels sont les principaux points à vérifier avant l’achat ?
Le carnet d’entretien, présence de l’ABS, le sérieux du concessionnaire, et les accessoires sécuritaires (antivol, tablier, éclairage). Privilégiez aussi une période d’essai avant signature, ça permet d’éviter les (mauvaises) surprises.
